Bon, comme c'est la Saint Valentin, bonne fête au gluon de l'amûûr..., le grand jeu du jour sera de déterminer quel est, selon l'immense public de trois névropathes et demi qui visitent ce Journal, LE slow qui tue pour emballer grave.
Pour ma part, le choix était vaste, bien trop vaste pour en déterminer un seul, alors j'ai choisi celui qui, en plus d'être une ballade écrite très justement pour serrer, me rappelle surtout de bien jolis souvenirs (confessions intimes day) :

Ah, c'est ça de vivre avec un métalleux !
Alors, j'attends une avalanche de commentaires...